mercredi 14 novembre 2012

REMERCIEMENTS


Bien le bonjour ! Aujourd'hui, je voulais faire un article un peu spécial. Tout d'abord pour vous remercier, vous, lecteurs et visiteurs pour vos nombreuses visites. Aujourd'hui, on est arrivé à 1100 visites depuis l'ouverture du blog. Merci beaucoup pour votre soutien ! Cela m'encourage à écrire avec plus de ferveur encore !

J'en profite pour glisser quelques remerciements qui se doivent d'être prononcé :

D'abord, je voulais remercier chaleureusement mes parents pour leur soutien, leurs critiques et leurs encouragements. Sans eux, je ne serai jamais allée aussi loin, alors… Merci, merci, oui, vraiment, merci !


Ensuite, je voudrai dire un grand merci à mon petit frère qui m'aide à garder les pieds sur terre avec tout ce qu'il me fait découvrir à travers son enthousiasme. S'il n'était pas là, je serai quand même vachement à la masse !

Je voudrai remercier Marie Tarkowska (désolée si j'écorche ton nom, Marie !) et Mathis Longuépé, mes plus fidèles lecteurs. J'espère que vous continuerez encore de me lire aussi longtemps que j'écrirai, votre soutien m'aide beaucoup, merci encore ! 

Ensuite, merci à tous les écrivains qui m'ont fait rêver depuis que je suis enfants, c'est grâce à eux que j'ai voulu appartenir à leur “caste”, trop nombreux pour être cités.  Merci pour toutes vos fabuleuses histoires.

Je pense avoir fait le tour de l'essentiel. Merci évidemment à tous mes amis et ma famille qui m'écoutent parler pendant des heures de mon écriture sans jamais faire voir l'ennui profond que cela leur inspire (enfin, pas trop, hein, j'espère…). Merci de nouveau à vous qui venez si souvent. J'espère que nous continuerons à faire un bout de chemin ensemble.

PS : nous comptons, avec mes parents bientôt envoyer “Réflexions d'une marionnette de papier” à un éditeur. Si cela se fait, je vous promets de vous tenir au courant. Je vous mettrai bientôt le chapitre 1 en ligne, pour l'instant, il est en cours de correction ! En attendant, en voici les quelques premières lignes : 
-->

 

Liberté

C’est un mot curieux, inconnu et inaccessible. Quand je ferme les yeux, je parviens à entendre des choses… Des rires… Le bruit de chaînes rouillées qui tombent dans du sable chaud… Je vois un oiseau blanc qui s’envole. Il est si blanc que c’en est écoeurant et éblouissant. Je lève une main pour créer une ombre sur mes yeux. J’ai envie de me lever et de prendre l’oiseau au creux de mes paumes. Le bercer près de mon cœur, l’écouter chanter sa mélodie.
Liberté.
C’est un mot qui explose comme un feu d’artifice, se dissout et tombe lentement dans le fond de mon verre dans une pincée de poussières qui clignotent. C’est beau… Je verse dans le récipient une eau limpide, pure. La boisson scintille de mille feux. Quand je prends le verre dans ma main, il est chaud. Je bois le mot. Il a un goût sauvage, de cerises et de fraises, mais pas seulement. C’est une véritable salade de fruits, là-dedans ! C’est délicieux. Je sens les lettres couler en moi, doucement parcourir mes veines et palpiter dans mon cœur puis dans mon ventre. Ça chatouille, alors je rigole.
La liberté, je ne l’ai jamais connue, moi qui ne suis qu’un déchet, né dans une décharge au milieu des immondices humains.

Et pour conclure avec une note “joyeuse”, voici la chanson principale du film “Le magasin des suicides” (film à aller voir, inspiré du livre de Jean Teulé, un bon moment à passer !) : 

 

Marine Lafontaine 

Aucun commentaire: