dimanche 7 avril 2013

ARTICLE SHAMPOING

  Bien le bonjour à tous ! Alors, nous voilà repartis avec un article deux en un ! Non, ce n'est pas le nouveau chapitre de la fiction qui est en ligne, mais les vacances sont pour la semaine prochaine alors je vous promets de m'y mettre à ce moment-là pour que vous l'ayez dans les plus brefs délais.
    Sinon, les deux sujets abordés seront une pièce appelée “Que ma joie demeure” d'Alexandre Astier et un manga du nom de “Darker than Black” de Tensai Okamura. Commençons donc tout de suite avec l'opening !

  
  Alors, qu'est Darker Than Black ? Le premier seinen que j'arrive à regarder, pour tout dire ! Un seinen, c'est un manga dit pour adulte, donc souvent avec plein de sang et de meurtres pas très ragoutants (enfin, cela a été le cas de ceux que j'ai commencé… et que je n'ai pas fini comme Elfen Lied… Brrr…).  Donc, reprenons, je disais que ce n'était pas le cas de ce manga-ci que j'ai adoré. 
    Suite à l'apparition de Hell's gate dix ans plus tôt, des pactisants et des dolls sont apparus. Ceux-là sont des personnes ayant acquis un pouvoir surnaturel en échange d'un paiement de nature variée et les pantins leurs intermédiaires. Leur existence devant demeurer secrète aux yeux de la population, c'est le rôle de la quatrième section des affaires étrangères de la police gérer ces personnes. C'est là que commence l'histoire avec la jeune agent Kirihara et le mystérieux étudiant Lee qui, malgré son attitude calme et souriante, semble être un dangereux individu. 
    Alors, ce manga est réellement excellent. L'histoire est prenante dès le départ et les personnages vous tiennent en haleine. Un seul couac, les fins. Les ? Oui, les, parce qu'il existe, en plus de l'histoire principale, une série d'OAV (appelés Darker Than Black Gaiden) qui introduisent une deuxième trame sous le nom de Darker than Black: Ryūsei no Gemini. Cette dernière est bonne, vraiment. Malgré quelques menus défauts que je ne citerai pas ici, l'histoire tient bien la route et le personnage principal poursuit une évolution très intéressante. Mais les fins… sont décevantes par rapport au reste. C'est dommage et on reste sur notre faim.   


   Après, je voulais vous parler de la pièce d'Alexandre Astier que j'ai découvert il n'y a pas longtemps sur le net par hasard… Et quel hasard ! Ici, notre bon roi Arthur troque son habit royal pour le costume d'un musicien et cela lui réussit très bien !  
   Ici sous les traits de Bach, Astier nous révèle ses talents de claveciniste et joueur de viole de gambe. Après quelques recherches, j'ai découvert en effet que cet acteur avait intégré le Conservatoire National Supérieur de musique (notez les majuscules !) et se promettait à une grande carrière dans l'art musical. Mais, il avoue lui-même par la suite,  qu'il « tombe à vingt ans par mégarde dans la comédie ». Et nous l'en remercions ! 
    Donc, dans cette pièce, Bach doit, comme chaque année, ouvrir les portes de son école de musique pour donner un cours à tous ceux qui désirent y assister, donc au petit peuple… ce qui l'irrite considérablement. Ne pouvant se dérober à la loi (malgré la lettre qu'il a envoyé au prince lui-même), il est contraint de faire son cours. Entre leçons atrocement tortueuses et souvenirs, une dure journée s'écoule pour ce musicien atteint d'un mystérieux mal qu'aucun médecin ne peut guérir. 
   On retrouve ici Astier dans toute sa splendeur, accompagné du fichu caractère qui le caractérise si bien dans Kaamelott. Cette pièce a été un véritable plaisir pour les oreilles, vraiment, je vous la conseille vivement ! Une bonne dose d'humour qui vous feront du bien, agrémentée de quelques notions musicales. Ce que j'ai retenu de cette leçon ? Heu… Que la contre pointe est une musique très régulière !

Marine Lafontaine  

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