mercredi 21 août 2013

MEDÉE, CHAPITRE 6

   Bien le bonjour ! Après une longue absence de la toile, me revoilà en force avec dans mon panier une foule d'articles qui fourmillent dans mon esprit. Sans plus attendre, je vous laisse avec le chapitre 6 de Médée qui saura, je l'espère, combler vos attentes. Bonne lecture ! 
 
Créon s’était douté que sa conversation avec Egée serait houleuse. Celui-ci, en effet, n’apprécia guère que sa fiancée lui soit enlevée par un autre homme.
-                Je gouverne Athènes. Vous ne pourriez pas trouver meilleur parti pour votre fille ! Elle saura protégée, choyée, chérie, aimée. Elle mènera une vie que toutes les femmes jalouseront, alors pourquoi lui refuser un si bel avenir ?
-                Corinthe et Athènes sont en bons termes, admit le père de Créuse. Vous possédez une cité magnifique, prospère et étendue, Egée. Mais Créuse aime Jason. Pour cette raison seule, je me dois de refuser votre proposition.
-                Mais je l’aime également ! Vous préférez confier votre descendante à ce meurtrier en cavale à moi !
-                Surveillez vos mots, Egée. Jason est un héros de Minerve, un courageux guerrier qui a triomphé de tous les obstacles et s’est acquitté de sa quête.
-                Et qui a assassiné son propre oncle.
-                Ce crime n’était pas de son fait. La coupable a été jugée et condamnée pour cela.
-                La coupable ?
-                Il s’agit de Médée, la princesse de Colchide, une terrible sorcière. Méfiez-vous en comme de la peste, elle… 
-                Elle n’est pas le sujet de cette conversation !
Son interlocuteur ne répliqua pas, peu désireux d’attiser la colère du monarque.
Créon n’était pas un mauvais roi, loin de là. Juste et droit, il prenait toujours ses décisions en suivant sa conscience, après avoir minutieusement pesé le pour et le contre. Il pensait ne pas avoir fait d’erreur en repoussant Egée, mais il avait sous-estimé l’amour que celui-ci nourrissait à l’égard de sa fille, un amour dévorant et obsessionnel.
Un amour de tragédien…

Médée s’accouda à son balcon. Bientôt, elle s’en irait… Son départ était prévu pour le petit jour. Elle allait tout quitter. Son échine se courba, comme trop lourde, incapable de supporter les souvenirs qui l’encombraient.  
-                Abandonnerais-tu ? siffla une voix à son oreille.
La jeune femme sourit doucement.
-                Moi ? Renoncer ? Réfléchis donc un peu à tes paroles, Mégère.
La furie de la Haine, se contentant de la fixer de ses yeux plus noirs que deux puits sans fond. Sa sœur, Tisiphone, la Vengeance, ria et s’assit avec élégance sur la rambarde. Les serpents qui perçaient la peau de ses bras sifflèrent et s’agitèrent sous le menton de Médée qui ne leur accorda pas la moindre importance.
-                Tu es notre quatrième sœur, Médée, sourit-elle en caressant sa joue du bout de ses griffes. Ne l’oublie pas.
-                Cela n’arrivera pas, assura la magicienne, le regard dur. Soyez tranquilles.
Alecto, l’Implacable, qui se tenait jusqu’alors en retrait, s’avança nonchalamment.
-                Nous attendons ton œuvre avec impatience. Appelle-nous quand tout sera prêt.
Toutes trois se volatilisèrent dans un panache de fumée. La princesse de Colchide semblait sonder les astres nocturnes du regard. 
-                La liqueur que j’ai versé dans la boisson d’Egée devrait faire effet, maintenant… Etonnez-moi, roi d’Athènes, soyez donc un bon petit pion… 

Dire que Créuse était en colère aurait été un vulgaire euphémisme. Elle était absolument hors d’elle, elle maudissait les dieux et les hommes d’être la cause de sa mauvaise fortune. Ce jour aurait dû être le sien, celui où on l’aurait portée en triomphe, celui où Jason l’aurait fait sienne… Au lieu de ça… 
Elle frappa le plateau de sa coiffeuse dans un geste rageur et darda sur son reflet un regard haineux. Dans un accès de rage, elle brisa le miroir en jetant sa brosse dedans. Le verre explosa et les éclats se répandirent à terre. 
-                Cette putain de Pluton a tout ruiné… Et ce crétin d’Egée !
Elle passa une main tremblante dans sa coiffure défaite. Elle constata avec horreur que du sang s’écoulait de ses doigts où se dessinaient de fines coupures. Elle se précipita sur sa cuvette et plongea son membre à l’intérieur. Des volutes écarlate s’élevèrent dans l’eau pour la teinter d’un rouge clair. 
-                Je la hais, cracha-t-elle avec hargne. Par Jupiter, je la hais… Si seulement elle n’avait jamais existé !
Elle leva devant elle sa main dégoulinante d’eau et de sang alors qu’un rictus tordait sa bouche royale. Assises côte à côte, les trois furies dardaient sur elle leurs regards avides, plus sombres que les Tartares où mille âmes damnées hurleraient à mort. Créuse se tourna vers elle, sentant leurs présences, mais ne parvenant à les distinguer de ses yeux de mortelles. Mégère passa une langue fourchue sur ses lèvres desséchées alors qu’un rire, semblable à un croassement de corbeau, s’élevait de sa gorge. 
-                Cette petite… J’ai envie de la mordre jusqu’au sang.
-                Plus tard, Mégère, souffla Alecto sans cesser de fixer intensément la princesse. Plus tard…
Elle leva sa torche d’où émanait une lumière glacée alors qu’un sourire venait étirer sa bouche, découvrant une rangée de dents pourries, mais terriblement aigues.
-                Soyons patientes… C’est l’heure… 
Créuse se laissa tomber à genoux. Ses ongles peints et taillés raclèrent la pierre du sol alors qu’un hurlement de rage grondait dans sa poitrine. Mais ce fut un rire nerveux qui siffla entre ses lèvres. Elle fut très vite interrompue par des coups frappés à sa porte. La jeune femme leva des yeux fous sur ces battants, comme s’ils dissimulaient quelque bête affreuse.
-                Qui est-là ? croassa-t-elle d’une voix aigue.
-                Princesse, princesse, ouvrez-moi, je vous en prie… S’il vous plaît, princesse… 
Créuse se redressa, intriguée et inquiétée par cette voix suppliante. Elle lui était familière… D’un pas lent, elle se dirigea vers la porte.
Puis elle l’ouvrit.

Créon fut brutalement réveillé par deux esclaves qui vinrent le tirer du lit en le secouant comme s’il n’avait été qu’un vulgaire prunier. 
-                Majesté, l’heure est grave !
-                De quoi parlez-vous ? maugréa le roi, encore englué dans les brumes d’un profond sommeil.
-                Majesté !
L’intéressé se redressa, interpellé par le ton affolé du nouvel arrivant. Il dévisagea avec stupéfaction son futur gendre qui n’était vêtu que d’une simple tunique. 
-                Jason, mais que faîtes-vous habillé de cette manière ? balbutia-t-il.
-                Peu importe, Créon ! Il s’est produit une chose terrible !
-                Comment cela ?
-                Egée… Egée a enlevé Créuse !

Médée avait été surprise, elle devait l’avouer. Elle ne s’était pas attendu déjà à ce que Egée agisse aussi vite. De plus, il ne s’était pas contenté de voler un baiser, une caresse à la princesse.
Non, il se l’était appropriée toute entière.
La magicienne se pencha à son balcon pour observer les cavaliers qui fouettaient leurs montures pour partir à la poursuite de Egée. Parmi eux, elle reconnut Créon et Jason et un sourire amer naquit sur ses lèvres.
-                Ne devriez-vous pas participer aux recherches, mon cher Pollux ? lança-t-elle dans le vide, suivant toujours du regard la cavalcade des cavaliers.
Son interlocuteur ne répondit pas immédiatement. Il s’avança sur le balcon, dardant sur Médée son regard sombre.
-                Qu’avez-vous fait à Egée, sorcière ? C’est un roi fort bon et sage. Jamais il n’aurait commis tel acte de trahison.
-                Il est amoureux, Pollux, soupira la jeune femme d’un air dramatique. Pouvez-vous le condamner pour cela ?
L’ancien Argonaute ne répondit pas. En réalité, il connaissait peu de choses à l’amour. Il avait bien son frère jumeau, Castor, qui demeurait l’être qui chérissait le plus au monde, mais… Il ignorait tout de qu’on nommait communément la passion, la passion charnelle, entre deux êtres qu’aucun lien de sang ne rassemblait. 
-                Pollux, j’aurai quelque chose à te proposer.
L’homme ne réagit pas tout de suite. Il frissonna à peine quand il sentit les doigts légers de Médée caresser son visage.
-                Tu es un demi-dieu, Pollux, contrairement à ton frère qui n’est un simple mortel. Quand la mort vous fauchera tous les deux, tu te verras proposer l’immortalité, mais Castor demeura aux Tartares. Mais je peux le rendre immortel, j’ai assez de pouvoirs pour accomplir ce miracle. Si tu me promets de rester en dehors de tout cela, j’accorderai à ton frère l’immortalité… Ainsi, tu ne seras jamais séparé de lui.
Ô délicieuse tentatrice… Qu’il aurait aimé glisser ses mains autour de son cou pour le briser… Mais il était si frêle et ses doigts si énormes qu’il craignait de ne pas y arriver.
-                Et laisser mourir Jason en contre partie ? siffla Pollux. Ne te moque pas de moi, sorcière.
-                Fais comme il te chante, souffla doucement Médée. Le sort de ton frère est entre tes mains… 
Elle s’éloigna, avec cet éclat si particulier dans les yeux, si mauvais, si ardent… Pollux sentit ses mains trembler. Il les porta à son glaive dont il serra la garde, comme si ce simple geste suffirait à le rassurer. Son esprit tournait et retournait malgré lui les paroles de la sorcière. Leur sens était limpide, mais il ne parvenait à comprendre… 
-                Pollux… 
L’homme se retourna. Il sursauta en apercevant Phérès  au centre de la pièce qui l’observait de ses yeux sombres.
-                Pollux, répéta-t-il, j’aimerais te parler de mère.
-                Il est tard, Phérès, répliqua l’intéressé en passant une main fatiguée sur son visage. Tu devrais retourner te coucher.
-                Ce sont ses paroles qui vous troublent à ce point ?
L’ancien argonaute se laissa tomber sur le sol, la tête emplie de pensées contradictoires. La volonté de soutenir Jason, son compagnon et fidèle ami, et le désir brûlant de pouvoir offrir l’immortalité à son frère le tiraillaient. Lentement, Phérès vint s’asseoir à ses côtés.
-                Je sais ce que vous ressentez, avoua-t-il.
-                Comment cela ?
-                J’ai reçu de ma mère beaucoup de sa puissance, mais Merméros semble dénudé de tout talent. A ma mort, je ne sais ce qui m’arrivera, mais je puis penser qu’on me laissera dormir sous la terre bien longtemps. Quant à mon frère, on fera peu de cas de sa disparition… 
L’enfant se laissa aller en arrière contre la rambarde de pierre du balcon. Il sourit douloureusement.
-                Je sais ce que l’avenir nous réserve, je l’ai lu dans les entrailles de la chouette que ma mère avait tué. Malgré tout, je ne peux m’empêcher d’aimer mère, Pollux… 
-                Que compte-t-elle faire, Phérès ! le pressa l’ancien argonaute. Je t’en prie, livre-moi ces desseins !
Phérès esquissa un sourire, laissant paraître ses dents aigues.
-                Non, émit-il d’une voix caressante. Mais il y a autre chose dont je souhaiterais vous faire part, Pollux… 

Egée fut capturé au petit matin. Créuse avait été jetée en travers d’un cheval, bras attachés dans le dos, un bâillon sur le bas du visage. Ce fut Jason qui la trouva. Il s’empressa de la détacher alors que les soldats mettaient le roi d’Athènes à terre. Le jeune homme délivra la princesse qui, dès qu’elle le put, se jeta dans ses bras, tremblante. De ses yeux encore écarquillés par la peur s’écoulaient des larmes. 
-                Ô Jason, ô Jason, murmura-t-elle avec fièvre à son oreille. Si vous saviez combien j’ai eu peur ! Si vous saviez, Jason !
Avec une tendresse et un naturel qui le surprit lui-même, Jason la serra contre lui. Il se sentait étrangement… soulagé. Etrangement… heureux… Oui, il devait l’être puisque Créuse était la pièce maîtresse de son plan. Mais là… non, il sentait que c’était pour autre chose. C’était plus que son désir de pouvoir.
C’était cette femme… qui le troublait. Ses bras la serrèrent un peu plus contre son torse, son nez vint se nicher dans le creux de son cou. Créuse ria un peu, tendre.
-                Tu me regardes enfin, sourit-elle, émue. C’est la première fois… J’ai l’impression que c’est la première fois que tu poses tes yeux sur moi.
Déconcerté par ses paroles, Jason l’observa avec attention. Il détailla ses yeux immenses et clairs, sa longue chevelure qui bouclait à son extrémité, son petit nez orné de tâches de rousseurs, les petites rides autour de ses yeux, vestiges de sourires tendres.
Créuse, une femme, un être humain. Oui, une princesse, aussi, mais une femme avant tout… 
-                Ô Créuse… épouse-moi, je t’en supplie… 
-                Oui, Jason… Oui, mon mari… mon roi… mon homme…
Elle se pencha sur lui pour sceller cette promesse d’un fougueux baiser, sous le regard bienveillant de Créon. Ses yeux aigus ne lui mentaient jamais.
Et ce qu’il venait de voir dans les yeux de ces deux personnes était clairement de l’amour… 

Nérine tenait entre ses mains la robe de mariage de Médée. Une splendide parure ornée de sequins brillants, de voiles vaporeux et de merveilleuses broderies toutes en finesse. Elle se souvenait encore du jour où Médée avait ouvert le paquet qui contenait cette merveille. Sa tante la lui avait fait envoyée au palais, alors que la princesse ne devait être âgé qu’une dizaine d’années. Son regard émerveillé, son sourire plein de fossettes, son air ravi, elle avait tournoyé en tenant le vêtement à bout de bras. Même s’il était bien trop grand pour elle, elle avait insisté pour le porter. Elle pouvait à peine marcher car elle ne cessait de se prendre les pieds dans la jupe.
La gouvernante serra la robe contre son cœur. Elle chercha dans ses fibres l’odeur de l’innocence ancienne, le goût doux amer des rires, fugaces souvenirs d’une époque heureuse. Quand elle se redressa, elle dut faire face au regard vidé de tout sentiment de sa maîtresse. Elle avait observé, à l’aide de familiers, la cavalcade de Jason à la poursuite d’Egée. Elle aussi avait reconnu cette étincelle si particulière qui allume le regard et le cœur.
-                Donne-moi cette robe, Nérine. Il est enfin temps…     

   Et voilà, ça commence à devenir intéressant, non ? Pour ceux qui connaissent la légende, vous savez bien évidemment comment va se dérouler la suite. Mais vais-je suivre la voie des tragédiens ? Ou la comédie m'emportera-t-elle sur des chemins plus heureux ? C'est ce que nous verrons ! En attenant, n'hésitez pas à me suivre sur Google + ou sur Facebook pour être au courant de tous les articles, de vous abonner au blog ou de laisser des commentaires pour réagir vis-à-vis de l'article. En vous souhaitant une bonne journée !

Marine Lafontaine 

mardi 20 août 2013

COUCOU, JE SUIS ANONYME

   Salut, article un peu spécial pour aujourd'hui. En effet, je vais vous raconter un petit quelque chose de véridique.
   Il y a quelques jours, à une heure d'intervalle, aux alentours de une et deux heures du matin, j'ai reçu deux appels privés où un garçon et ses potes se sont amusés à m'insulter et à dénigrer mon écriture en me faisant clairement comprendre que ce je produisais étaient de la m**** et qu'il vaudrait mieux pour tout le monde que j'arrête toute activité. 

   Qu'ils m'attaquent n'est pas tant ce qui m'a le plus marquée. Nous sommes dans un pays libre où chacun a le droit de s'exprimer (même si je ne vois pas bien l'intérêt de me cracher leur dégoût à la figure. Quand on aime pas, on peut tout simplement passer son chemin, ce sera tout aussi bien). En fait, ce qui a vraiment attiré mon attention était le fait qu'ils ne se soient pas présentés et qu'ils m'ont contacté de telle sorte que je ne puisse pas les rappeler.
   D'où mon sujet principal : l'anonymat. 

   L'anonymat, c'est de tout temps. On connaît de très célèbres tableaux qui n'ont pas été signés, des œuvres littéraires sorties d'on ne sait où. C'est le principe des super-héros, aussi. Un masque pour préserver son identité etc, etc. 

   Mais j'aimerai surtout vous parler de l'anonymat sur Internet. Il est assez rare, par exemple, qu'un blogueur écrive sous son véritable nom. Je vais prendre un exemple : le garçon ou la fille qui va écrire des nouvelles érotiques sur le net ne va généralement pas signer sous son véritable nom à cause des impacts que cela pourrait avoir dans sa vie. Railleries, rumeurs, étiquettes… Les conséquences sont nombreuses et généralement peu agréables. Pourtant, certains auteurs sont doués et mériteraient qu'on reconnaisse leur travail, mais bon… 
 
   Dans ces cas-là, l'anonymat est compréhensible. Après, il existe la catégorie des YouTubers que j'aimerais mettre en avant. Parce qu'il s'agit quand même d'hommes et de femmes qui ont eu le cran de se planter devant une caméra et de poster sur la toile des podcasts où ils sont parfois parfaitement ridicules. Je salue donc leur courage et leur humour. 

   Après, il existe l'anonymat “d'attaque” qui est, d'après moi, une grande marque de lâcheté. C'est facile de railler une personne derrière son écran, de piétiner son travail. Après, se mettre en face de la personne pour lui répéter les mêmes insanités, c'est une autre paire de manche. C'est comme si vous envoyiez une lettre de menaces non signée. Ça ne vaut pas grand chose et c'est même complètement stupide. Si vous avez des reproches à faire à une personne, faites-lui en face et sans vous cacher. 

   Pour en revenir au sujet principal, à savoir ceux qui m'ont appelé, qui ils sont, pourquoi ils font ça, heu, pour tout vous avouer, ça me passe un peu par-dessus la tête. Qu'il s'agisse d'une blague alcoolisée ou de personnes sérieuses, je m'en fiche. Mais je les remercie pour m'avoir fourni un sujet d'article intéressant. 

  Des personnes comme celles-là, il en existe partout, ce n'est pas à elles de juger de votre travail. Si vous avez déjà été victimes de leur connerie, rassurez-vous, détendez-vous. Si vous prenez trop à cœur tout les reproches qu'on puisse vous faire, vous n'avancerez jamais.   

   Bon, je n'ai pas de dessins sous la main, mais nous avons quand même franchi la barre des 9 000 visites pendant les vacances. Un grand merci à tous ceux qui continuent de me suivre, je vous promets encore de grands articles à venir pour cette nouvelle année scolaire ! Et pour ne changer, voici une petite chanson ! N'hésitez pas à me suivre sur Google + ou sur Facebook pour être au courant de tous les articles, de vous abonner au blog ou de laisser des commentaires pour réagir vis-à-vis de l'article. En vous souhaitant une bonne journée !


Marine Lafontaine