vendredi 13 septembre 2013

BACCANO !

   A votre avis, quel est le point commun entre des clans mafieux, des alchimistes, de riches bourgeois, un démon, un élixir d'immortalité, un homoncule et une paire de voleurs délurés ? Baccano! bien sûr !

   Bien le bonjour ! Nouvel article commande, qui nous vient cette fois-ci de Manon C. Merci à elle pour son petit mail très sympathique qui m'a permis de découvrir un manga détonnant qui possède le meilleur opening de tous les temps (vrai comme verue de verrat !).
   D'ailleurs, le voici !



   Ah, souvenir, souvenir. Ce manga a une histoire qui est assez commune aux très bons animes. Tout d'abord, il apparaît sous forme d'une série de nouvelles de Ryogho Narita, série en cours qui ne dénombre à ce jour pas moins de vingt volumes. Ensuite, il a été adopté par les studios Brain's base (dont j'aurai l'occasion de parler car ce sont eux également qui ont mis sur pied l'excellent Durarara, et qui s'occupent en ce moment-même du cas de Blood Lad). Et pour finir, il est sorti sous forme de manga avec comme titre Baccano! 1931 The Grand Punk Railroad, scénarisé par l'auteur de la série lui-même et dessiné par Ginyū Shijin

  De mon côté, je vais vous parler de l'animé qui est somme toute un très bon moment à passer. L'histoire est en réalité assez simple, mais elle ne se déroule pas dans l'ordre. En effet, l'aventure se poursuit sur trois années (voir plus), mais les épisodes sont entrecoupés de scènes de différentes époques. Ce qui pourrait être un pari risqué au départ (on a quand même du mal au premier épisode à tout suivre), se révèle par la suite un délicieux mécanisme qui vous entraîne dans une aventure magistrale. 

   Je me vois mal faire un résumé de l'histoire sans révéler certains détails croustillants. Ce serait quand même un beau gâchis et je m'en voudrai de vous priver du plaisir de tout découvrir vous-même. 

   Pour ceux qui connaissent Durarara, Baccano! étant son grand frère, vous pourrez remarquer certains points communs : entre autres, le fabuleux chassé-croisé entre les histoires, mais aussi l'éventail tout en couleurs de personnages que l'animé nous offre : c'est une grande galerie que dis-je, une grande famille dont les membres sont drôles et attachants… Bon, d'accord, pas tous (je vise notamment Ladd Russo, un personnage complètement cinglé).

   Je ne conseille pas ce manga à tous. Il est violent, sanglant et ne se le cache pas (Durarara est beaucoup plus soft à ce niveau-là, plus modéré). Mais l'histoire vaut le coup d'œil, alors si vous n'êtes pas trop sensibles, je vous conseille vivement d'aller le visionner ! 

   A très bientôt pour un nouvel article, n'hésitez pas à commenter ou à vous abonner au blog par mail pour être prévenus dès qu'un écrit est mis en ligne. Vous pouvez aussi me suivre sur Google + et sur Facebook

Marine Lafontaine 

Aucun commentaire: